Presse
Opéra national du Rhin
Papagena
Die Zauberflöte
« L'une des très belles surprises du spectacle est la sémillante interprète dePapagena. Cette petite chose aux faux airs de Maria de Medeir os croisée avec Eva Ionesco se révèle, en plus d’avoir un charme indéniable, être une véritable tornade, dont la souplesse, dans tous les sens du terme (grand écart compris, on se frotte les yeux pour y croire), est l’un des clous du spectacle. La délicieuse soprano canadienne Elisabeth Boudreault est une révélation au timbre frais et fruité à suivre. »
Forum Opera
Ellen
Opéra Comique
Lakmé
«Le soprano Élisabeth Boudreault se révèle aussi exceptionnel dans la mélodie française qu’au théâtre.»
Anaclase
Opéra de Rouen
Pamina
Die Zauberflöte
« Elisabeth Boudreault est une Pamina piquante, poupée de sires, poupée de sons dans sa robe féerique très évasée. Elle est ici moins manipulée par les hommes et le destin que par les danseurs qui la font flotter et même tourner dans les airs. La femme en devient d’autant plus puissante lorsqu’elle triomphe également des défis (loin de se cantonner à la fonction de récompense pour le prince) et elle terrasse l’auditoire par l’intensité de sa voix. Le rôle sollicite pourtant beaucoup ses graves mais Elisabeth Boudreault les nourrit de souffle et les élance par un médium sonore et placé, vers un aigu incandescent. La voix emplit ainsi aisément la salle en tourbillonnant de volume mais elle sait tout autant suspendre l’attention de l’auditoire à ses nuances les plus ténues, toutes audibles. Son aria éplorée (“Ach, ich fühl’s“) réunit l’intense élégance du médium et les larmes scintillantes de l’aigu. »
Olyrix
Soeur aînée
Opéra national de Lyon
Trauernacht
« La sœur aînée, sidérée encore par la disparition d’un père bien-aimé, est incarnée par la soprano Elisabeth Boudreault, à la voix lumineuse quel que soit le registre, bien que ses aigus ressortent particulièrement avec éclat et finesse. La souplesse des phrasés offre un émouvant air extrait de la cantate Herr Jesu Christ, wahr’ Mensch und Gott (L’âme repose entre les mains de Jésus), alors qu’elle revêt les anciens habits de son père. »
Olyrix
Festival d'Aix-en-Provence
Barbarina
Le Nozze di Figaro
« Elisabeth Boudreault, délicieuse Barbarina qui laisse espérer un bel avenir avec une voix qui porte
(une des rares voix féminines qui porte et qu’on entend clairement, avec un beau phrasé). »
Wanderersite.com
Gretel
Opéra national du Rhin
Hänsel und Gretel
« En Gretel, Elisabeth Boudreault emporte tous les suffrages par sa fraîcheur, sa vivacité, sa prononciation de l’allemand et sa voix limpide
aux aigus lumineux. »
ResMusica
Opéra national de Lorraine
Oberto
Alcina
« L’ensemble du plateau vocal emporte d’ailleurs l’adhésion, avec une mention spéciale pour la soprano québécoise Elisabeth Boudreault en Oberto. Déguisée en enfant, sac à dos sur les épaules à la recherche de son père captif, ses brèves interventions fascinent le jeune public, qui admire la puissance de la portée d’une chanteuse à la constitution de sylphide. »
Olyrix
Barbarina
Opéra national de Lorraine
Le Nozze di Figaro
« La Barberine d'Elisabeth Boudreault, au physique enfantin bluffant, aussi et surtout saisissante dans son air "L'ho percuta, me meschina", véritable parenthèse enchanteresse qui parvient à marquer la soirée et les esprits malgré la modestie du personnage. »